Korrespondenz mit Albrecht von Haller Angaben aus Repertorium
Beginn der Korrespondenz
25. Mai 1748
Ende der Korrespondenz
27. Juni 1775
Kurze Charakterisierung
Die freundschaftliche Korrespondenz besteht aus zwei unterschiedlichen Zeitabschnitten. In der ersten Phase erscheint T. als der jugendliche Verehrer AvH.s. Er übersetzt dessen Gedichte ins Französische und bemüht sich, diese zu publizieren, indem er AvH.s Bedenken gegenüber der französischen Kritik zu zerstreuen sucht. Eine gewisse Verstimmung entsteht, als T.s Übersetzung nicht nur bei «Vandenhoeck (Göttingen)» erscheint («*Alpen 1749 (frz.)», «*Gedichte 1750a (frz.)»), sondern auf Veranlassung von T.s Hauslehrer, Johannes Stapfer (1719-1801), auch bei «Heidegger & Co (Zürich)» («*Gedichte 1750 (frz.)»). - Eine nicht unwichtige Rolle spielt T. im Zusammenhang mit der unglücklichen Verlobung von AvH.s Tochter Marianne, der späteren M. Jenner-von Haller [K], mit Vinzenz Frisching (1727-1790). Als dessen Freund ist T. der eifrige, aber schliesslich doch erfolglose Vermittler zwischen der Familie Frisching und AvH. Ebenfalls mehrmals erörtert werden in dieser Zeit die Henziverschwörung und das Schicksal des in der Folge dieser Ereignisse verbannten H.R. Wyss [K]. - Im Zentrum der zweiten Korrespondenzphase steht T.s Tätigkeit für die «Typographische Ges. Bern». Nachdem sich die Pläne zerschlagen haben, eine französische Fassung der kleinen Schriften («*Kl. Schriften 1756»), mit einigen Briefen ergänzt, zu verlegen, kommt v.a. die Herausgabe der grossen Physiologie («*El. physiol. 1757-66») zur Sprache. Weitere Hauptthemen dieser Zeit sind die «OeG Bern», etwa mit der Diskussion ökonomischer Preisfragen oder mit AvH.s Verzeichnis der Schweizer Bäume («*Bäume 1763»), ferner T.s Pläne, den Messias («Klopstock 1749») oder die «Philosophical Transactions» (u.a.) zu übersetzen. Über die gesamte Korrespondenzzeit häufig erwähnt werden auch E. Bertrand [K], J.J. Bodmer [K], J.C. Gottsched [K], P.G. Werlhof [K], A. Young [K] und J.G. Zimmermann [K]
HenziverschwörungVersöhnliches zu Frisching: "S'il n'etoit pas indiscret à un heune homme d'oser Vous louer, je dirois que vous avés pris l'affaire de Frisching comme un homme henereus la pouvoit prendre; seulement je suis faché de vous voir Vous livrer trop à la Crainte des énemis que Votre juste Cause doit vous avoir faits: Eh bon dieu! ne soupçonne Vous plus d'honnetes gens danms Votre Chere Patrie? je vous assure que des Parens même de F. vous rendent justice, et sans parler du public, qui le condamme, vos anciens amis vpus seroient ils sans secousrs: des nouveaux je ne suis peutetre que le plus impuissant, mais sojes persuadé, que je me ferai un plaisir de vous servir en tout tem; je conterai le jour ou j'aurai pour la premier fois l'honneur de Vous vcir, pour un des plus beau jour de ma vie, et je serais en toute chose flatté de jouir du Commerce familier de l'Homme de mon Siecle qui aura fait le plus d'honneur à ma Patrie." AvH Linsing kommt nicht in Frage, Mad. Mathod wird ihr Grosskind bald wieder sehen: "L'afaire de M. de L. est finie. Il revint le jour meme que Vous partites, et aprez avoir bien examiné son exterieur et ce que je pus reconnoitre de son interieur, je le jugeai lus propre à rendre ma fille malheureuse qu'à etre heureux lui meme et je l'engageai à s'en defaire." "Vou me feriez beaucoup de plaisir en me donnant de tems en tems des nouvelles, et surtout sur la probabilité de la promotion en 1753 ou 1745. Cela me sert à prendre mon parti, toujours bien difficile à prendre.""Nous sommes pprets à repandre [verstreuen, verbreiten] ici le projet d'un petit commerce des? livres, je scais, que l'etabli $ d'une librairue pourroit en double 1. debit des impressions qui je fais faire, et qui je pourrai $ d'entreprendre $ seul an en Societé avec d'autres. Les Correspondances m'assuerai pour le Succé de touts paraitre Speculation $ mieux au mojen d'echanges et d'affaires plus considerables, et un assortiment de Librairie pour obtenir des matières d'argent par un peu de vente au détail, ne seroit tout qu'à des Etrangers, qui jusqu'à present ont toute $ Commissions en commerce tous étant à peu près abandonné pour le Bourgeois. On nous se présente comme les plus pressant et le soin de s'assurez de quatrième édition d'ouvrage d'un gout universel et d'un débit present pour servir un echanges avec les Libraires de france. J'irai l'honneur de Vous parler Monsieur une fois d'un recueil français de vos petites oeuvres, celui qui Mr. Votre frere a fait imprimeur à Bienne m'en avoit fait naitre l'idée. Vousdriè Vous $ avaoir la complaisance de me dire si un $desscin auroit assés Votre aprobation pour nous faire esperer de votre part une indicution des petite ouvrages extraits, préfaces, petites dissertations, lettres etc. qui pourroient entrer dans ce recueil; et si Mr. Votre frere à quelque dommage à craindre de cette édition de $ façon on pourroit s'arranger avec lui. Jee compte toujours sur d'esperance que Vous $ avés donné de nous faire aider les droits de Mr. d'Arnay sur votre Collection de théses de Physiqus? etc j'irai tard? à d'avoir l'honneur de Vosu en ecraser pourquoi nos Messieurs m'avans $ $ dans le recueil des yieux qui sont de leur département. Mr. Fellenberg se distingue par son activité, par son empussement à consulter Scacans jurisconsultes sur le Choix des dissertations, et il serait le premier en état du paroitre en public avec des Cjoses: Si Mr. Kochjer songer à quelques arrangement nouveau pour son lot, j'irai vendu ma Campagne à mon frère Cadet; j'ai act. la maison et le petit prier de feu Ms. le Cons. Lerber. Le double $ ménage augmente mes occupations pour quelques jours. Mr. Hutton qui est revenu ici pour quelques tems Vous $ des respects de même que Mr. de Bonstetten mon cher Beaufrere. [...]"/Keine dazugehörige Briefe /25.6.17JH
Notizen zu weiteren Briefinhalten
2 Briefe undatiert
Zitiervorschlag für diese Ansicht
"Tscharner, Vinzenz Bernhard (1728-1778)", hallerNet, https://hallernet.org/data/person/01055,aufgerufen am 04.07.2025.