Aquae Valesiacae, Vallenses
Haller auf der Schweizer Reise 1728: „[...] que nous arrivâmes aux bains du Valais. [...] Le 28 [juillet] nous allâmes visiter les sources de ces bain si fameux depuis tant de siècles. [...] Toutes ces eaux sont chaudes sans brûler pourtant la main, claire, sans odeur, et coulent sur un limon jaune doré, qui apparemment n’est qu’un safran de Mars. [...] J’ai vu y mener des hydropiques, des blessés, des filles hystériques, des personnes affligées de la sciatique[,] enfin des malades de toute espèce. Il est naturel, qu’extérieurement elles purifient et dessèchent, et guérissent par là les vieux abscès comme je l’ai vu dans un paysan, malade d’un empyème. Intérieurement le Mars, le soufre et la chaux qu’elles charrient, peuvent ouvrir des obstructions, dessécher les humeurs superflues, fortifier les viscères, et purifier par le moyen des croûtes et des selles qu’elles causent. [...] (Haller, Premier Voyage, 2008, S. 55-58) – Meyer-Ahrens 1867, S. 139-168.