Ptisana
„Ptisana, ein Tranck, aus Gersten-Graupen, Corinthen und rad. Glycyrrhiz. gekochet und bereitet [...]“ (Woyt 1740, S. 767 f.)
„Gerstentranck“ (Blancard 1748, S. 557)
„Ptisana, ptissana, eine Ptisane, ein gesotten Wasser, das man nach Durst trinkt, ein dünner Trank; die Alten verstunden eigentlich darunter ein abgekochtes Wasser von gemachter Gerste, Rosinen und Süszholz.“ (Onomatologia 1772, Sp. 1155).
„[...] La tisane est la base de toutes les boissons, dont on se sert en maladie; c’est sur-tout dans les maladies vives qu’elle devient utile pour détremper le sang & les humeurs qui sont coagulés, pour appaiser le feu de la fievre, pour relâcher les fibres qui sont trop tendues, & pour suppléer à la déperdition des liquides, qui se fait dans la fievre. – Comme la tisane est un boisson que le malade doit prendre en grande abondance, on doit avoir pour but de la rendre toujours très-legere, & d’éviter l’abus dans lequel on tombe tous les jours, qui est de charger les tisanes d’ingrédiens inutiles, qui ne servent qu’à fatiguer l’estomac qui devient incapable de les digérer. [...]“ (Dict. de santé 1761, II, S. 513 f.)
- GG ptisana 0102, 0104, 0116, 0119, 0123, 0158, 0161, 0297, 0430, 0460, 0507, 0520, 0525, 0528, 0532, 0637, 0651, 0706, 0783, 0785, 0791, 0793, 0794, 0801, 0824, 0843, 0903, 0915, 0944, 0955, 1011, 1036, 1039, 1157, 1171, 1174, 1205, 1209, 1234, 1247, 1286, 1419, 1542, 1591, 1655, 1699, 1721, 1732, 1795, 1839, 2051, 2052, 2057, 2086, 2091, 2103, 2111, 2118, 2121, 2123